Les scientifiques parcourent des montagnes de données chaque jour pendant leurs recherches. Le cloud computing a la capacité de changer la recherche scientifique d’une manière qu’on ne peut même pas imaginer. Si vous avez un smartphone, il y a de fortes chances pour que vous ayez au moins un compte cloud pour stocker vos photos et vidéos.
Même si vous n’en avez pas souscrit, la plupart des appareils intelligents sont livrés avec un compte inclus dans leur logiciel. Le cloud computing ne change pas seulement la manière dont on stocke et partage les données, il a également un impact sur la recherche scientifique.
Un surplus de données
La recherche scientifique moderne génère une quantité énorme de données. Des éléments tels que le génome humain prennent environ 200 Go et ce génome n’est même pas parfaitement séquencé. Les outils actuels peuvent générer des giga-octets ou des téraoctets de données, laissant les chercheurs dans l’embarras pour trouver des emplacements pour les stocker.
Voici la définition du cloud computing :
Une ferme de disques durs suffisamment grande pour sauvegarder autant de données occuperait la majeure partie de la pièce. Le cloud computing supprime le besoin de disques durs sur site, créant ainsi plus d’espace pour les expériences ou les équipements.
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Réduire les coûts à mesure que le marché se développe
Le marché du cloud computing est en plein essor. En 2008, l’industrie ne valait que 46 milliards de dollars. En 2012, ce nombre a triplé pour atteindre 150 milliards de dollars, avec environ 72 % des entreprises qui sont passées au cloud computing.
Bien que vous deviez payer le stocke en cloud pour tout ce qui dépasse 1Go, dans la plupart des cas, il est plus rentable d’utiliser le cloud que d’acheter des disques durs. Cela peut également aider à faire des découvertes plus rapidement.